- Isha, toujours aussi sauvage dans ses attitudes et ne perdant jamais une occasion de s'imprégner du sang des siens, choisi Valandyl pour cible gustative. Inventive, elle utilisera un stratagème plutôt fructueux. [Rp à lire]
- Amarok s'acharne à passer ses épreuves. Pour s'intégrer au groupe, il ira jusqu'à grimper dans un arbre et aider Zuri. D'un autre coté, il tente d'approcher la férale Beta mais... sans succès.
- Valandyl ira rendre visite au Casmus afin de s'arranger avec Ann pour que Isha, la férale, teste le sang du jeune inahan. Par sa particularité à identifier les sang, Isha pourrait confirmer une affinité familiale.
- L'inkosi Al'ka offre à Takeo, homme de Nyoka, l'honneur de recevoir un nom schendien. Il est venu avec sa compagne et a affronté le jugement des esprits qui lui a été favorable. Rebaptisé Mse'Maji, il a dû s'en montrer digne et partir en chasse avec les kiumes du clan, pour dévorer encore chaud le coeur de sa proie.
- Asya, future M'wana, prend son future rôle à coeur. Inyanga sensible aux autres, elle s'occupera du jeune Ealden, fils de Al'ka, et qui souffre du poids et des épreuves difficiles que lui incombent ce statut 'fils de chef'. Passée par là, elle sera un soutien pour aider le jeune homme à trouver sa place.
- Otargr propose à Amarok de lui apprendre à pécher au harpon et, en échange, il aidera le Red Savage à pister un Kurr. Les deux hommes, Imanis, se tiendront les coudes sur le chemin vers le statut de Pledge.

Tribaux . . . Sauvages . . . Sanguinaires . . ..
Nous sommes acharnés impitoyablement contre le faible, l'étranger, comme une manière sadique de selectionner ceux qui ne sont pas dignes ou non adaptés a vivre dans ce monde que nous appelons Gor.
Ne deviens jamais notre ennemi . . . Ne deviens jamais notre gibier . . .
dimanche 26 juin 2016
Jang'ka's news [25]
[Semaine 25 - du 20 au 26 juin]
Blague, version Morik'o !
Morik’o qui était posée sur son rondin de bois, se releva et alla attraper deux bûches avant de les jeter dans le Moto (feu). Elle jeta un coup d’œil autour d’elle, tout le monde semblait dormir paisiblement, même les bruits diurnes avaient cédés la place à un quasi silence total. Elle inclina la tête sur le côté, concentrant son sens auditif, le sensibilisant à ce qui l’entourait : quelques bruits de brindilles craquant sous les pas des animaux, une eau se mouvant tranquillement dans le lit de la rivière, quelques volatiles nocturnes hululant sous la lumière des trois Lunes, cherchant sûrement quelques rongeurs à attraper, du bout de leurs griffes acérées. Elle esquissa un sourire, se plaisant à imager cette scène en tête, tout en contemplant les flammes danser dans un rythme lent. Pour cette nuit, il y avait assez de bois, cela pouvait tenir jusqu’au petit matin.
La Shamane se retourna et commença à se diriger vers le tableau afin de laisser un message indiquant sa position. Elle attrapa un caillou blanc puis commença à esquisser quelque chose qui ressemblait à Nyoka. Elle indiqua ensuite son identité en reproduisant l’un des symboles de ses peintures de guerre puis reposa la pierre au sol contemplant son « œuvre ». Moué, pas terrible, elle n’était pas bonne artiste dans l’âme la petite Momo. Elle se dirigea enfin vers la sortie, franchissant les portes une à une puis traversa la jungle en direction du bord de la rivière. Elle sauta sur sa pirogue, saisit ses rames et partit, essayant de faire le moins de bruit possible.
Morik’o aperçu enfin le port de Nyoka. Elle alla placer sa pirogue dans un coin de sorte que personne ne puisse soupçonner la présence d’une mamba sur le territoire des Nyeupes. Elle descendit et posa enfin ses pieds sur la terre ferme et lâcha un long soupir. Instinctivement, elle renifla l’air, à la recherche d’une odeur humaine, mais rien. Un calme plat, presque inquiétant, pas âme qui vive dans les environs. Les Nyokiens avaient-ils fêté quelque chose au point d’en terminer bourrés, se pouvaient-ils qu’ils se soient effondrés sous les effets de la chaleur, ou bien qu’ils aient succombés tout simplement lors d’une guerre ? Un sourire carnassier se dessina sur ses lèvres à l’idée de voir un champ de cadavres surmonter les plaines de la cité ! Mais ceci, n’était qu’un rêve… Cette triste réalité la rattrapa lorsqu’elle se retrouva devant les portes de la ville. Tout semblait en ordre, trop même ! Momo allait devoir remédier à cela en faisant une farce peut-être… Une blague, oui, mais laquelle ! Elle réfléchit longuement, ne trouvant aucune solution. Soupir, long soupir !
Alors qu’elle allait rebrousser chemin, elle vit au port un navire arriver. Vu le drapeau, il ne pouvait qu’être marchand. Elle se rapprocha, discrètement, masquant sa silhouette derrière les arbres ou les feuillages épais et se tint là, patiente, observant le bateau accoster. Lorsque l’ancre fut jetée, elle vit les hommes commencer à s’affairer énergiquement, commençant le déchargement de la cargaison. Tiens donc ! Quel était ce bruit qu’elle entendait, ce tumulte qui résonnait à l’intérieur du navire. Elle se rapprocha encore, toujours invisible aux yeux des voyageurs. Des meuglements ?! Sûrement un troupeau animal à livrer quelque part ! Son visage s’éclaira soudain ! Mais en voilà une idée de farce à faire ! Elle repartit jusqu’aux portes et sortit un crochet ainsi qu’un couteau de son petit sac. Toujours utile pour crocheter ces outils et c’est ce qu’elle allait faire d’ailleurs ! Elle inséra la pointe de la dague dans la serrure, ainsi que le crochet et commença à œuvrer tranquillement, sans stress, puisque tout le monde était occupé ou bien plongé dans un sommeil profond. Elle rapprocha son oreille et écouta attentivement le bruit, se concentrant comme elle pouvait sur ce forçage. Cliquetis final ! Première porte ouverte. Elle repoussa la porte derrière elle sans la fermer totalement puis décida de s’attaquer à la deuxième serrure, celle de la grille. Même chose ! Cliquetis final ! Ouverture ! Elle fit claquer sa langue contre son palais satisfaite. Il n’y avait plus qu’à trouver le moyen de sortir les animaux du bateau sans que les marchands ne la repère ! Dur labeur là !
Momo revint se positionner près du navire marchand, observant les petites choses humaines qui bougeaient toujours activement. Heureusement qu’il faisait nuit tout de même ! Elle alla glisser son corps dans l’eau et se mit à nager silencieusement vers la coque. L’ancre était jetée, il y avait juste à remonter la chaîne pour se retrouver directement à l’intérieur. Elle rebondit sur le plancher comme un larl rebondirait avec ses pattes de velours, griffes rangées et alla se cacher directement derrière un tas de caissettes de bois. Elle passa la tête, surveillant le passage des hommes. Aucun d’entre eux ne l’avait grillé. Elle pouvait continuer. Elle ramassa une cape laissée sur un coffre et s’en revêtit. Cela lui permettrait de bouger incognito, du moins, elle l’espérait. Elle sortit de son trou et lentement, mais sûrement commença à inspecter le navire, cherchant l’endroit d’où provenait les bruits animaliers. A l’intérieur, sûrement, sous ses pieds ! Mais biensûr ! Pourquoi n’y avait-elle pas songé plus tôt !

Morik’o continua de traverser le peuple du bateau, cherchant le point d’entrée vers la cale et elle s’arrêta net lorsqu’elle trouva celui-ci ! Ha fort bien ! La passerelle était déjà installée, donc ils devaient livrer du bétail dans cette cité ! Elle pénétra à l’intérieur comme si de rien était : Des Bosks ! Par tous les esprits ! C’était des Bosks sauvages ! Enormes ! Elle écarquilla les yeux et… Ouf… heureusement que Momo portait odeur du Schendi ! Elle pouvait sans mal se confondre parmi la faune ! Elle observa un long moment le troupeau, il y en avait quoi, vingt ou trente ! Nouveau sourire carnassier… Mais qui était le meneur parmi ce troupeau ! Ha tiens, celui-là semblait l’être, les autres le suivaient dès qu’il bougeait. Elle alla se placer au fond de la cale et se hissa sur une caissette. L’aube pointait, il fallait faire vite, les premières lueurs du jour traversaient le pays et le bateau par la même occasion. Elle attrapa son lance caillasse, qu’elle avait pris soin de fabriquer de ses propres mains et sur lequel elle s’était entrainée des jours durant, puis prit un caillou dans une de ses petites besaces. Enfin, elle arma le lance pierre et pointa en direction du meneur, la langue sortie en coin de bouche car concentrée. 1… 2… 3 ! Chtoc ! Le caillou alla directement se loger dans l’arrière train du Bosk ! L’effet fût immédiat. Ce dernier paniqua et tout le remue-ménage commençait. L’agitation était à son summum ! Les bêtes cherchaient à s’enfuir et certains commencèrent à prendre instinctivement la passerelle afin de remonter en haut ! Momo n’avait plus qu’à attendre patiemment que le meneur fasse le reste !
Les cris des marchands résonnèrent du haut vers le bas du bateau et la Shamane était toujours dans la cale ! Le plancher au-dessus de sa tête vibrait sous l’effet des sabots des Bosks. Mais là, personne ne pouvait rien faire ! Le troupeau était en alerte et dangereux. Leur corne pouvait faire bien du mal et les hommes préféraient sauter à l’eau plutôt que de finir embroché. Momo riait intérieurement ! Ça devait être beau à voir ! Elle entendit un des Hommes crier « Ils descendent, ils sont à terre ! ». Ca y ai, elle pouvait enfin sortir tranquillement. Elle se faufila rapidement vers la sortie, balança la cape qui l’avait masqué auparavant et couru juste avant de sauter hors du bateau, suivant les bêtes ! Elle entendit un des hommes hurler « Etrangère à bord ! Mamba ou Panther ! C’est elle ! C’est elle ! » mais Momo, était déjà loin !
Morik’o se tenait assez près du troupeau, elle s’était volontairement roulée dans la terre et avait frotté son corps avec des feuilles pour cacher son odeur. Ils étaient juste devant la porte de la cité, ne restait plus qu’à les y faire rentrer et pour ça Momo avait déjà prévu le truc ! Les portes étaient restés grandes ouvertes et personnes n’avait visiblement remarqué cela à l’intérieur de la cité ! Elle reprit son lance caillasse et fit un nouveau tir ! Nouveau chamboulement ! Ca y ai ! Quelques uns rentraient , les autres suivaient ! Parfait, le tour était joué ! Elle laissa échapper un grand éclat de rire s’imaginant déjà la bouille des Nyeupes à leur réveil ! Une cité dévastée ! Des coups de cornes ! Du Damu coulerait, c’était certain ! Elle descendit de son arbre ou elle s’était hissée, quelques temps plus tôt, (Beh oui, hein, c’est que Momo est prévoyante, elle n’avait pas l’envie de se faire embrocher !) puis repartie vers le port, d’humeur plus joyeuse !
Morik’o observa les quais. Le bateau était toujours là, les hommes étaient sortis de l’eau et s’agitaient dans tous les sens pour… reranger leur marchandise ?! C’était une blague ? Ils fuyaient de peur de finir en cage pour ne point avoir été attentif ! Elle rit intérieurement ! Sacrés Nyeupes ! Qu’ils peuvent être bêtes ! Après un long moment, elle vit l’ancre jaillir hors de l’eau, ils repartaient ! Elle attendit de voir le navire assez loin pour sortir de sa cachette et courut sauter dans sa pirogue ! Direction la Casa ! Momo allait en avoir à raconter des choses à certains. Elle espérait juste que la blague ferait rire quelques uns/unes de la Pakiti.
La Shamane se retourna et commença à se diriger vers le tableau afin de laisser un message indiquant sa position. Elle attrapa un caillou blanc puis commença à esquisser quelque chose qui ressemblait à Nyoka. Elle indiqua ensuite son identité en reproduisant l’un des symboles de ses peintures de guerre puis reposa la pierre au sol contemplant son « œuvre ». Moué, pas terrible, elle n’était pas bonne artiste dans l’âme la petite Momo. Elle se dirigea enfin vers la sortie, franchissant les portes une à une puis traversa la jungle en direction du bord de la rivière. Elle sauta sur sa pirogue, saisit ses rames et partit, essayant de faire le moins de bruit possible.
Morik’o aperçu enfin le port de Nyoka. Elle alla placer sa pirogue dans un coin de sorte que personne ne puisse soupçonner la présence d’une mamba sur le territoire des Nyeupes. Elle descendit et posa enfin ses pieds sur la terre ferme et lâcha un long soupir. Instinctivement, elle renifla l’air, à la recherche d’une odeur humaine, mais rien. Un calme plat, presque inquiétant, pas âme qui vive dans les environs. Les Nyokiens avaient-ils fêté quelque chose au point d’en terminer bourrés, se pouvaient-ils qu’ils se soient effondrés sous les effets de la chaleur, ou bien qu’ils aient succombés tout simplement lors d’une guerre ? Un sourire carnassier se dessina sur ses lèvres à l’idée de voir un champ de cadavres surmonter les plaines de la cité ! Mais ceci, n’était qu’un rêve… Cette triste réalité la rattrapa lorsqu’elle se retrouva devant les portes de la ville. Tout semblait en ordre, trop même ! Momo allait devoir remédier à cela en faisant une farce peut-être… Une blague, oui, mais laquelle ! Elle réfléchit longuement, ne trouvant aucune solution. Soupir, long soupir !
Alors qu’elle allait rebrousser chemin, elle vit au port un navire arriver. Vu le drapeau, il ne pouvait qu’être marchand. Elle se rapprocha, discrètement, masquant sa silhouette derrière les arbres ou les feuillages épais et se tint là, patiente, observant le bateau accoster. Lorsque l’ancre fut jetée, elle vit les hommes commencer à s’affairer énergiquement, commençant le déchargement de la cargaison. Tiens donc ! Quel était ce bruit qu’elle entendait, ce tumulte qui résonnait à l’intérieur du navire. Elle se rapprocha encore, toujours invisible aux yeux des voyageurs. Des meuglements ?! Sûrement un troupeau animal à livrer quelque part ! Son visage s’éclaira soudain ! Mais en voilà une idée de farce à faire ! Elle repartit jusqu’aux portes et sortit un crochet ainsi qu’un couteau de son petit sac. Toujours utile pour crocheter ces outils et c’est ce qu’elle allait faire d’ailleurs ! Elle inséra la pointe de la dague dans la serrure, ainsi que le crochet et commença à œuvrer tranquillement, sans stress, puisque tout le monde était occupé ou bien plongé dans un sommeil profond. Elle rapprocha son oreille et écouta attentivement le bruit, se concentrant comme elle pouvait sur ce forçage. Cliquetis final ! Première porte ouverte. Elle repoussa la porte derrière elle sans la fermer totalement puis décida de s’attaquer à la deuxième serrure, celle de la grille. Même chose ! Cliquetis final ! Ouverture ! Elle fit claquer sa langue contre son palais satisfaite. Il n’y avait plus qu’à trouver le moyen de sortir les animaux du bateau sans que les marchands ne la repère ! Dur labeur là !
Momo revint se positionner près du navire marchand, observant les petites choses humaines qui bougeaient toujours activement. Heureusement qu’il faisait nuit tout de même ! Elle alla glisser son corps dans l’eau et se mit à nager silencieusement vers la coque. L’ancre était jetée, il y avait juste à remonter la chaîne pour se retrouver directement à l’intérieur. Elle rebondit sur le plancher comme un larl rebondirait avec ses pattes de velours, griffes rangées et alla se cacher directement derrière un tas de caissettes de bois. Elle passa la tête, surveillant le passage des hommes. Aucun d’entre eux ne l’avait grillé. Elle pouvait continuer. Elle ramassa une cape laissée sur un coffre et s’en revêtit. Cela lui permettrait de bouger incognito, du moins, elle l’espérait. Elle sortit de son trou et lentement, mais sûrement commença à inspecter le navire, cherchant l’endroit d’où provenait les bruits animaliers. A l’intérieur, sûrement, sous ses pieds ! Mais biensûr ! Pourquoi n’y avait-elle pas songé plus tôt !

Morik’o continua de traverser le peuple du bateau, cherchant le point d’entrée vers la cale et elle s’arrêta net lorsqu’elle trouva celui-ci ! Ha fort bien ! La passerelle était déjà installée, donc ils devaient livrer du bétail dans cette cité ! Elle pénétra à l’intérieur comme si de rien était : Des Bosks ! Par tous les esprits ! C’était des Bosks sauvages ! Enormes ! Elle écarquilla les yeux et… Ouf… heureusement que Momo portait odeur du Schendi ! Elle pouvait sans mal se confondre parmi la faune ! Elle observa un long moment le troupeau, il y en avait quoi, vingt ou trente ! Nouveau sourire carnassier… Mais qui était le meneur parmi ce troupeau ! Ha tiens, celui-là semblait l’être, les autres le suivaient dès qu’il bougeait. Elle alla se placer au fond de la cale et se hissa sur une caissette. L’aube pointait, il fallait faire vite, les premières lueurs du jour traversaient le pays et le bateau par la même occasion. Elle attrapa son lance caillasse, qu’elle avait pris soin de fabriquer de ses propres mains et sur lequel elle s’était entrainée des jours durant, puis prit un caillou dans une de ses petites besaces. Enfin, elle arma le lance pierre et pointa en direction du meneur, la langue sortie en coin de bouche car concentrée. 1… 2… 3 ! Chtoc ! Le caillou alla directement se loger dans l’arrière train du Bosk ! L’effet fût immédiat. Ce dernier paniqua et tout le remue-ménage commençait. L’agitation était à son summum ! Les bêtes cherchaient à s’enfuir et certains commencèrent à prendre instinctivement la passerelle afin de remonter en haut ! Momo n’avait plus qu’à attendre patiemment que le meneur fasse le reste !
Les cris des marchands résonnèrent du haut vers le bas du bateau et la Shamane était toujours dans la cale ! Le plancher au-dessus de sa tête vibrait sous l’effet des sabots des Bosks. Mais là, personne ne pouvait rien faire ! Le troupeau était en alerte et dangereux. Leur corne pouvait faire bien du mal et les hommes préféraient sauter à l’eau plutôt que de finir embroché. Momo riait intérieurement ! Ça devait être beau à voir ! Elle entendit un des Hommes crier « Ils descendent, ils sont à terre ! ». Ca y ai, elle pouvait enfin sortir tranquillement. Elle se faufila rapidement vers la sortie, balança la cape qui l’avait masqué auparavant et couru juste avant de sauter hors du bateau, suivant les bêtes ! Elle entendit un des hommes hurler « Etrangère à bord ! Mamba ou Panther ! C’est elle ! C’est elle ! » mais Momo, était déjà loin !
Morik’o se tenait assez près du troupeau, elle s’était volontairement roulée dans la terre et avait frotté son corps avec des feuilles pour cacher son odeur. Ils étaient juste devant la porte de la cité, ne restait plus qu’à les y faire rentrer et pour ça Momo avait déjà prévu le truc ! Les portes étaient restés grandes ouvertes et personnes n’avait visiblement remarqué cela à l’intérieur de la cité ! Elle reprit son lance caillasse et fit un nouveau tir ! Nouveau chamboulement ! Ca y ai ! Quelques uns rentraient , les autres suivaient ! Parfait, le tour était joué ! Elle laissa échapper un grand éclat de rire s’imaginant déjà la bouille des Nyeupes à leur réveil ! Une cité dévastée ! Des coups de cornes ! Du Damu coulerait, c’était certain ! Elle descendit de son arbre ou elle s’était hissée, quelques temps plus tôt, (Beh oui, hein, c’est que Momo est prévoyante, elle n’avait pas l’envie de se faire embrocher !) puis repartie vers le port, d’humeur plus joyeuse !
Morik’o observa les quais. Le bateau était toujours là, les hommes étaient sortis de l’eau et s’agitaient dans tous les sens pour… reranger leur marchandise ?! C’était une blague ? Ils fuyaient de peur de finir en cage pour ne point avoir été attentif ! Elle rit intérieurement ! Sacrés Nyeupes ! Qu’ils peuvent être bêtes ! Après un long moment, elle vit l’ancre jaillir hors de l’eau, ils repartaient ! Elle attendit de voir le navire assez loin pour sortir de sa cachette et courut sauter dans sa pirogue ! Direction la Casa ! Momo allait en avoir à raconter des choses à certains. Elle espérait juste que la blague ferait rire quelques uns/unes de la Pakiti.
samedi 25 juin 2016
Profil Jang'Ka : Toa'Hiti
1/ Qui es-tu, présentes-toi.
Akhoris, né d'un père mamba et d'une mère terrienne amazonienne qui faisait partie de la tribu des Kanôe, il est très observateur, clairvoyant, souvent silencieux et en retrait, il n'aime pas les bains de foule et encore moins les nyeupes.
2/ Quel rôle joues-tu ?
Ak rejoint les Jang'Ka car il a toujours eu de l'admiration pour cette tribu. Le sens fraternel dont ils font preuve est impressionnant. Il est venu ici pour se retrouver et devenir un hunter Jang'Ka. Il réapprend la vie à leur côté, laissant son passé derrière lui.
3/ Cite-nous trois qualités et trois défauts.
- Observateur
- Temeraire
- Loyal
- Impulsif
- Peu communicatif
- Borné
Sa meute. Il donnera sa vie pour défendre celles de la tribu.
jeudi 23 juin 2016
Construction d'un Canoe Schendien. **Correction & mise en page en court**
**Correction & mise en page en court**
Krösis avait passé sa journée à chercher un tronc d'arbre idéale, le the bois qui servirait à construire le présent, oui cette idée trottait dans sa tête depuis un baille celui d'offrir quelque chose pour celle qu'il adorait. Otargr passait son temps à frapper du poing dans chaque tronc, chaque arbre qu'il trouvait il l'analysait ! c'est après plusieurs heures de recherche qu'il trouva son bien, un tronc suffisamment long et gros, sec qui plus est, un bois de type frêne, le Nordique le fit rouler à l'aide d'une branche solide qu'il utilisa comme levier, et parfois à l'aide de son pied. Sur tout le long du trajet il arriva à la rive du lac là ou devant se trouvait le camp. En cas de pépin il savait ou aller, et si son tronc devait prendre feu oui car il allait certainement usé du feu un moment ou un autre, eh bien il n'aurait qu’à jeter le tronc par-dessus bord. Il commença à positionner le tronc correctement et le stabilisa à l'aide de quelque bois planté à chaque extrémité, Une fois fait il se saisit de sa hache, tout d'abord afin de trouver les repère pour sculpter la Pirogue, Otargr traça à l'aide de quelque écorche les traits qui définiront la zone à creuser, c'est un travail qui prendrait beaucoup de temps mais soit, il avait le temps. Il prit une longue inspiration et s'étira longuement quand soudain le premier coup de hache se fit entendre dans la forêt, le voilà fin prêt à commencer à retirer le surplus du tronc.
Krösis donnait des coups soutenu sur l'écorce sans vraiment tenir compte du premier écorce, ce qui l'intéresse, c’était le cœur du chêne qu'il battait, ce bois résistant procure une durabilité accru et donc, est idéale pour l'eau. De plus qu'ici les eaux sont généralement douce donc le bois ne risquait pas d'être dévorer, Otargr s'empara désormais d'un maillet en chêne, oui bon il l'avait trouvé non loin et n'oublierai pas d'aller le remettre là où il l'avait trouvé quand il aurait achevé sa tâche ! Il enjamba alors le tronc pour avoir une vue d'ensemble sur le tronc, la zone était tracer, le premier écorce retirer, fier de lui il commença par placer le maillet sur le coin de la zone, et à l'aide de sa hache il fit amorcer la première fente, ce premier repère servira à définir le pont de la pirogue mais attention ! Le travail n'était pas fini loin de là. Le Nordique continuait sur toute la longue en donnant des coups sur la tête de sa hache à l'aide du maillet, la première couche de bois était retirer et on pouvait désormais mieux voir à quoi allait ressembler la pirogue.
Krösis observa un peu son travail, la première tâche n'était pas la plus dur actuellement car retirer le premier surplus du tronc n'était qu'un détail parmi tant d'autre. Désormais il devait s'attaquer à l'écorce sur les côté de la pirogue, mais pas seulement, non, l'aubier devait aussi être retiré et ceci demanderai certainement du temps pour le retirer car il y avait des risques. Un seul coup trop fort pourrait suffire à éclater le bois ou le fissurer et donc, il n'aurait pu qu'à aller en trouver un autre. C'est avec une précision de malade qu'il commence à gratter l'écorce à l'aide de sa hache de façon à creuser jusqu'au cambium du bois, cette matière est plus dur à travailler car elle est censé protéger le cœur, le duramen du chêne, il se prit d'une petite pause un moment pour essuyer la sueur de son front, c'est que sa piquait les yeux a force d'être penché pour gratter cette écorce rugueuse et sèche.
Krösis une vois fini d'avoir décortiqué comme il fallait les deux côté du futur navire, Otargr réfléchissait à la suite des opérations surtout pour le pont. Comment allait-t-il creuser autant dans ce tronc qui visiblement était bien trop épais ? Il n'avait que son maillet et sa hache qui d'ailleurs n'était pas très efficace mais bon, il faisait comme il pouvait, Son regard va sur le tronc qui ne ressemble plus vraiment à un vulgaire tronc, on pouvait voir que les deux côté était bien arrondit et qu'il pouvait facilement flotter, c'était un bon signe ! Otargr eu comme une idée subitement, une idée qui remonte à un moment de sa vie où il avait entendu parler des pirogues de d'autre peuple, eux avaient une technique très efficace pour accélérer le creusement du bois. Evidement le feu ! le feu était très utile si bien pour arrondir le bois ou pour le tordre si on faisait un arc, il pouvait aussi manger la matière suffisamment à condition de savoir le contrôler ! C’est alors qu'il part dans la forêt chercher des brindilles et de branches de taille différente afin de faire deux petit tas de chaque côté du futur navire. il les disposent convenablement de façon a pouvoir donner une forme respectable a sa création, la chaleur se chargerai du reste. Le Nordique sortit de sa petite besace deux cailloux de type cilex, utile pour créer une étincelle a force de les frapper l'un contre l'autre dans le sens du vent, par chance, il était à un endroit correct pour faire son feu. Une fois bien placer il se mit à faire chauffer ses caillou qui subitement fit apparaitre une fumer naissante, aussitôt il se précipita pour raviver la flamme qui prit rapidement ! Il réussit à faire ses deux feu pour que le bois se travaille correctement des deux proues.
Krösis surveillait comme il se devait la future pirogue qui se faisait dorer par le feu cuisant tout en comptant les vagues qui s'écrasaient sur les récifs au loin, c'est que le bois de chêne résistait parfaitement même à l'épreuve du feu, une aubaine d'avoir un bois pareil, son combat n'étant pas terminé il tourna autour de sa création pour l'analyser, l'inspecter pour trouver la moindre erreur ou le moindre danger le jour où il finirait a l'eau pour sa première navigation, s'il devait y avoir un accident il déciderait de le subir lui-même. Maître de son erreur pas le choix. Otargr esquissait un sourire car fier de lui, il avait parfaitement réussi a gérer le feu sur le bois mais il restait tout de même un problème, le pont ? Comment allait-t-il faire pour que le bois consume le centre de la pirogue ? Il réfléchissait a comment faire quand il lui vint une idée. Sur le plan qu'il avait en tête il se voyait genre déposer les braise sur le dessus et souffler ou bien ventiler à l'aide de feuilles. Une idée qui n'est pas l'une des meilleurs ! Il se prit alors de réflexion et observa les flammes, visiblement les deux proues étaient parfaitement travailler et relever comme il fallait, l'équilibrage pour l'eau était parfait. Otargr s'empressa de retourner le navire pour le mettre pont en dessous et coque inverser quand soudain, l'idée le pris subitement, il se souvint des constructions qu'il avait pu voir chez lui ou même ailleurs, le feu au centre pouvait permettre le creusement du pont, il suffisait de surveiller le feu et se pencher pour voir la chaleur faire, et donc aussi par moment creuser a la main pour s'assurer que le bateau ne s'enflamme pas totalement autrement la, se serait l'échec total et il ne se le pardonnerai pas ! Otargr se chargea d'éteindre les feux et ramena les bois et brindilles au centre pour allumer ce feu central, il reprit ses deux cilex et rapidement parvint à rallumer les flammes, le pont du bateau pouvait se travailler tranquillement, et de son regard, il observait l'avancement de sa création avec cette hâte de voir le résultat final.
Krösis patientait depuis un bon moment déjà qu'il entendait le feu faire craqueler le bois par moment, cette anomalie n'étant pas normal il se précipita rapidement vers le feu et à l'aide de terre il le recouvrit pour l'éteindre, sans succès il était encore bien entamer ce feu ! Alors, il se redresse et vint rapidement se mettre derrière le navire pour le pousser de toute sa force, ce dernier roulera et finira a l'eau pour se refroidir un peu, et peut-être, flottera-t-il, cas contraire s'il coulait, ou s'il s'imbibait d'eau, voir s'il se brisait alors il aurait tout perdu ! Du temps perdu, de la colère, et un sentiment d'être un incapable. Otargr n'aimait pas la défaite ! Non, et tout le monde le savait, il voulait réussir ! Il ferma les yeux le temps d'entendre sa création débouler jusqu'à entendre le grand " Plouuurrrfff " l'impact de la pirogue s'entendait parfaitement bien qu'il ouvrit ses yeux et alla voir ce qu'il se passait. Le voilà soudainement surpris, exciter, et ému, le navire flottait ! Il était là, un peu fumant surement le reste de la, chaleur et du au contact de l'eau mais il flottait, a première vu il ne semblait pas couler Alors par prudence, avant de montrer son travail il monte à bord pour tenter de déceler le moindre problème, il tente de garder un équilibre, regarde autour, caresse le bois et cogne de ses poings pour tester la solidité. Ce navire semble réussi et possible à naviguer avec. Le Nordique quitte sa pirogue et la ramène sur le bord du rivage, l'heure était venu de le finir et de passer à la touche final, les rames.
Krösis souriait grandement, un
sourire satisfait et vraiment heureux d'avoir su faire quelque chose de ses
mains, eh oui parfois sa lui manquait le travail du bois, construire des
choses, qui sait, peut-être pourrait-il le montrer a Amarock, même si
c'est un présent pour Morik'o, il savait qu'elle aimait parfois avoir un peu
tranquillité, et donc, une pirogue comme ça peut être pas mal pour la
relaxation. Otargr alla dans la forêt a la recherche de deux belle branches
assez solide, et bien long, le feu n'était pas éteint encore ce qui était pas
mal car il en aurait encore besoin, à l'aide de sa hache il commence par
prendre place aisément sur le sol, s'accroupissant puis saisit le premier bois
qu'il commence à tailler de façon à faire une fente, de cette fente il pourra
attacher solidement les quelque chute d'écorce assez solide pour en faire les
têtes de pagaye, il pris soin de ne pas faire des entailles trop large de façon
à ce que les tête ne nages pas ou ne se brise pas avec la force de l’eau, une fois fini, et satisfait de son travail,
Otargr s'empare d'une ficelle a son pagne. La coupe en deux morceaux égaux pour
fixer la première tête de plusieurs tours, il terminera d'un bon nœud assez
serré, la première pagaye était finie et il passait à la deuxième. Une fois son
travail terminé il se lève enfin, et contemple l'horizon avec cette curieuse
envie de tester sa création ! Voilà qu'il monta a bord rapidement, pagaye en
main et se mis à ramer pour quitter le rivage. Le navire voguait bien et
s'adaptait correctement sur l'eau, aucune fissure, pas une seul fuite, il était
réussi, et fini.
lundi 20 juin 2016
Le goût du sang.
Isɧα'TeKöΛ revient au camp après avoir passé quelques lunes dans la jungle. Elle évite tout d'abord de s'engouffrer au centre du foyer, observant les autres présents. Hummm, deux qu'elle connaît moins. La rousse feule, montre les crocs et se décale vers Valandyl... celui qu'elle connaît le mieux. Bien évidemment, elle montre de la frustration face à toutes ces nouvelles têtes "Hou Jang'ka" gronde-t-elle d'un ton rauque
VᾋĿᾋƝƉὛĿ regardait Isha qui semblait capter des odeurs nouvelles et lui demandera " hou Isha, wewe bado hawana kujua nyuso mpya..." (tu ne dois pas connaître encore les nouvelles têtes) voyant bien qu'un truc clochait alors il s'accroupit à son côté
мσяιк'σ sculptait tranquillement lorsqu'elle entendit un feulement lui parvenir aux oreilles. elle releva la tête, cessant le sculptage son lance caillasses. Ha beh tiens, la feral, fallait s'en douter. Elle plissa des yeux en sa direction, esquissa un sourire carnassier puis déposa ses matériaux avant de se lever pour lui répondre de la même manière puisqu'elle en avait décidé ainsi. Momo n'allait certainement pas baisser les yeux ha ça non !
VᾋĿᾋƝƉὛĿ salue les arrivants d'un "hou" convivial.
Isɧα'TeKöΛ surveille quand même Valandyl du coin de l'oeil.. juste de quoi s'assurer qu'il respecte son cercle vital si important pour elle. Elle feule encore, dodelinant la tête dans tous les sens.. oui? Non? Elle les désignent d'un coup de menton et marmonne d'une vois éraillée.. Clair que ça faisait un bail qu'elle avait plus causé. " Eux venir.. just guests... Lakini sasa wanajifunza jang'ka kuwa? [Mais maintenant, eux apprendre être jang'ka?] " Elle ne semble pas en colère.. juste en demande d'information pour ajuster son attitude envers eux.. manger? pas manger. Un regard interrogatif se pose sur Val qui se baisse.. ça, c'est rassurant comme pose
мσяιк'σ quitta du regard la feral qui avait feulé pour le poser sur Usi. Elle hocha la tête puis fixa les intestins d'un oeil. Contente, elle était, son lance pierres allait pouvoir avancer. Elle s'approcha doucement de la main tendue et vint attraper ce qu'Usi lui tendait avant de reculer à nouveau tout en enfermant entre ses mains le bien, précieux à ses yeux. Elle releva légèrement la tête et murmura un "Asante".
VᾋĿᾋƝƉὛĿ lui explique à voix basse " yebo... la rousse Mori'ko devenue une imani, elle a son frère aussi devenu imani, il se nomme Akhoris, il y a un nordique, lui je ne sais pas mais de ce que je sais, son passé a déjà été lié à la tribu donc tu dois le connaître je pense... il y a aussi un Amarok dont tu es l'i'mota il me semble" il la regarde à son tour d'un regard calme et stoïque comme à son habitude
Isɧα'TeKöΛ dévie un moment le regard sur l'autre rousse... fronçant les sourcils devant cette apparence qui lui rappelle la sienne. Sûrement la touffe de poil couleur carotte. Elle gronde, tracassée de voir le reflet de l'eau face à elle.. là bas. A chaque explication, les yeux sauvages de la férale se posent sur la personne;. cherchant Amarok " Isha I'mota? " Elle renifle, cherchant un souvenir concernant ce mâle discret qu'elle doit guider
VᾋĿᾋƝƉὛĿ acquiesçait doucement en disant " yebo, avec Al'ka si j'ai bien entendu la nouvelle " ignorant si ça lui parlera et si elle a pu déjà le croiser ou sentir son odeur. il se redressera alors et s'étirera de toute sa hauteur éveresque.
мσяιк'σ croisera à nouveau le regard d'Isha posé sur elle, l'étudiant sûrement, mais vu la tête, quelque chose ne passait pas chez elle... Elle arqua un sourcil, la fixant intensément de ses yeux verts, puis renifla bruyamment avec un air de je m'en foutisme complet. Si elle avait soucis avec Momo, la ferale savait ou la trouver. Point ! Elle salua d'un signe de tête Val puis revint se poser sur son rocher afin de reprendre son activité.
Ash'een'aali dévore sa banane, tout crocs dehors d'une façon qui refroidira tous les esprits d'un coup. Elle glisse séant sur la roche, saluant d'un "Hou" le rejeton inkosien qui tente l'arrivée discrète;
Sumanitu Tanka déglutit et regarde ailleurs du coup "Hou Ealden" voilà le padawan qui arrive
Isɧα'TeKöΛ commençait un inventaire gustatif... faisant le décompte de ceux qu'elle a déjà goûté et ceux qui doivent encore passer par ses crocs. Elle raye Tanka, ash et Ealden de son tableau de chasse, ayant déjà imprimé leur empreinte sanguine dans sa mémoire gustative... A l'évidence, elle avait du retard à rattraper et un sourire bestial dévoile une certaine faim. Elle fini par scruter l'inyanga à coté d'elle, se penchant un peu pour le renifler. Sans s'en rendre compte, elle se demande à voix haute " nini ladha ina damu yako? [quel goût a ton sang?] " Isha, bien plus préoccupée par son addiction à l'hémoglobine avait déjà oublié son reflet posé plus loin
Isɧα'TeKöΛ claque la langue avec un peu d'impatience.. comme si elle se préparait déjà à faire un festin gustatif. elle chope l'approche d'Al'ka, lui souriant de toutes ses dents... ah lui, elle connaît son sang par coeur. Rien qu'à repenser au kiffe que procurer son liquide rouge, elle ronronne. Dans la foulée, elle salue d'un "Hou Mighty"
VᾋĿᾋƝƉὛĿ relevait les sourcils en répondant "Sijui ... ladha ya damu ...?"( je ne sais pas... le goût du sang...?) en voilà une question dont il n'a pas la réponse, ignorant le pourquoi d'une telle question
Al 'Кα reste calme , le regard passant sur son voisin et venant de la hanche mater le coté du corps et relever la tête pour chopper le haut de la crête blonde .. IL feule .. agacé de devoir autant lever la tête et se redresse comme une façon de gratter quelques centimètres .. UN peu frustré .. il se demande s'il est judicieux d inviter Valandyl a la danse du zgeg .. question .. de comparatif de gabarit qui pourrait leur nuire . Dans le doute il vient faire un signe au géant " Montres voir ta main Inyanga .. ? "
Isɧα'TeKöΛ devient plus alerte et agitée quand Val semble être réceptif à cette question... Ça semble être une porte ouverte à l'invitation.. genre 'ben dis-moi'. Elle avance d'un pas, hésite, le contourne.. renifle et lui lance des sourires ravageurs... made in Isha. "kiume vouloir savoiiiir... " son intention meurt quand Al'ka intervient auprès de l'inyanga... zut, elle perd l'attention de val. Du coup, elle gronde instinctivement sur l'Inkosis
мσяιк'σ reprit sa dague en main et recommença à tailler le bois, attentive tout de même aux discussions alentours. Concentrée elle était et comme à son habitude, cela se traduisait par un bout de langue qui sort en coin de bouche. Son morceau prenait forme petit à petit.
Sumanitu Tanka sourit en voyant faire Isha, la férale avait trouvé sa proie, c'était bien la particularité des férals d'avoir les sens suffisamment décuplé pour pouvoir pister une odeur de sang, il s'installe sur le rocher après avoir allumé sa pipe
Ash'een'aali s'étend pour abandonner en proie aux flammes sa peau de banane. Elle regarde la pelure noircir et se recroqueviller durant quelques ihns songeuses. C'est la voix d'Al'Ka qui l'extirpe de ses pensées " Hou, Inkosi" Un pas de côté l'emmène au flanc de l'akicta quand le grognement féral résonne et attise sa curiosité.
VᾋĿᾋƝƉὛĿ ne comprend pas les raisons de l'approche de son i'mota alors il lui tend sa grosse paluche en fasse du visage, tellement grande qu'il pourrait lui agripper tout le visage avec, il se sent bête ce soir entre le goût du sang et la taille de sa main? où alors serait-ce pour autre chose? cicatrice? trace de pacte de sang ou autre? il questionne dans un premier temps Isha du regard puis Al'ka qui semble vouloir que le colosse fasse une tête de moins...
Isɧα'TeKöΛ profite finalement de la diversion de Al'ka qui veut examiner la main du mâle géant. Elle adoucira un moment son attitude, elle passer dans la dos de Val pour s'asseoir au sol. Une de ses mains s'agrippe à son mollet.. comme pour établir un simple contact fraternel. Sauf qu'au lieu d'ouvrir la paume, elle ferme le poing et, griffes dehors, entaille légèrement sa peau. Elle feule de plaisir rien à sentir l'odeur de ces minuscule gouttelettes des sang... quel kif!
мσяιк'σ reposera son tout au bout d'un moment lassée puis ramassera les pelures de bois avant de les jeter au feu. Enfin, elle s'éclipsera discrètement afin d'aller à la recherche de son frère...
VᾋĿᾋƝƉὛĿ se raidit comme un i lorsqu'il sent la griffure si pointue qu'il se sent saigner direct il pivote le buste et baisse le visage pour regarder ce qu'elle fait avec des yeux ronds comme des noix de coco
Isɧα'TeKöΛ se doutait bien que le mâle allait être surpris mais au moins, le sang coulait... légèrement. Quand il baisse les yeux sur elle, elle lève le visage vers lui et lui offre un sourire 'so cute'... à part les crocs qui foutent un flip, elle peut être trognonne. "Isha goûter... yebo? " Sans attendre sa réponse, elle agrippe plus gentiment son mollet, en douceur, sa langue allant déjà nettoyer le mini plaie.
Al 'Кα estime la taille de la main .. puis .. feule .. geste réflexe de celui qui a confirmation de ce qu'il imaginait . Il vient finalement cesser de perturber les gestes de isha et lui laisse son cobaye non sans un sourire . La main est relâchée puis un décalage lui donne la vision de tout ce groupe qui est désormais la Pakiti jang ka . L'est tout calme l'papy jang ka .. rare ...étrange limite .... Il vise en biais la Sangoma " Quand aura lieu la cérémonie du Nyokien ? "'
VᾋĿᾋƝƉὛĿ lui répondit " ah bah là yebo tu peux... arrange toi pour que ça arrête de saigner même..." comprenant qu'elle le goûte carrément et lui demandera " faudra m'expliquer pourquoi tu m'as fait ça ferale..." puis il regarde de nouveau son i'mota et lui demande quand même " bah... qu'est-ce qu'elle a ma main?" n'ayant pas loupé le feulement à son égard qui l'inquiète...
Sumanitu Tanka notera la technique de Isha, il avait eu droit aux crocs, Val a droit aux griffes, amusé de son naturel bestial il tire dans sa pipe en riant "Isha luma (mord) avec les griffes"
Ash'een'aali se fend d'un léger sourire à voir Isha amadouer le 'nyanga à sa manière. Si la Sangoma s'était longtemps méfiée des lubies gustatives de la rousse, elle leur trouvait maintenant, après en avoir fait l'expérience quelque chose d'attendrissant. C'était une porte sur son monde atypique. La tête redressant légèrement quand l'Inkosi interpelle elle répond " Katika nne usiku, wakati jua ni katika mbinguni juu kabisa" ( Dans quatre nuits quand le soleil sera au plus haut du ciel "
Al 'Кα sera la , il espère que les présents ont entendu le rencart ... ça va saigner .
Sumanitu Tanka a prit note du rendez vous, cette fois, il vont pas se louper...
Isɧα'TeKöΛ prend son pied à nettoyer cette petite plaie.. c'est qu'elle est accroc au goût du sang humain. Hyper sensible au niveau gustatif, la rousse est une vrai bibliothèque sanguin.. capable de pister des sangs particuliers. Dans sa préoccupation de bien goûter, il pourra sentir de temps en temps le piquant des canines... Elle purrs pour seule réponse et lève un regard dilaté de plaisir quand, une fois fini, elle lève les yeux vers l'inyanga "Isha connaître toi.. now!.... Valandil kuchapishwa katika kumbukumbu [Valandyl être imprimé dans mémoire] " son doigt allant tapoter sa tempe, puis, sa langue qu'elle tire hors de la bouche
VᾋĿᾋƝƉὛĿ reste surpris par la façon qu'elle a de s'imprégner de lui et lui demandera curieux " tu lui trouves un goût à mon damu toi?"
Isɧα'TeKöΛ fera un sourire ravi quand Tanka ajoute son commentaire.. elle dodeline de la tête, contente de son stratagème pour goûter ce jang'ka-ci. Quand il s'agit de sang, la rousse peut être vachement inventive. Déjà, son regard balaye l'assemblée tandis que sa main reste posée autour du mollet meurtri. Elle lève à nouveau les yeux et hoche la tête " Yebo... Valandyl ladha! [le goût de Valandyl!] " Elle montre Ealden et ajoute " kiume avoir nearly same [presque même] goût que Mighty " soulignant qu'elle est capable d'associer familiarités sanguines
Ash'een'aali ferme les yeux, sa joue frottant contre l'épaule de Tanka. Entendant la férale elle pensait indubitablement à sa soeur, son sang retrouvé " Mchango Isha lina nguvu "(Le don de Isha est puissant). Restait encore à la Sangoma à remercier la férale pour ça, elle sait que le moment viendra où l'offrande parfaite va se présenter.
Sumanitu Tanka passe un bras autour de Ash qui se frotte à lui, il lorgne sur Ealden "Kesho katika uwanja wa, kila tutaona jinsi ya wield mkuki Schendi (Demain dans l'arène, on verra ensemble comment manier une lance du Schendi)" pas certain que le jeune sache utiliser ce type d'arme, il avait certainement du apprendre a manier les épée.. plus courte
VᾋĿᾋƝƉὛĿ sourit et lui dit " j'espère avoir bon goût... et si je te fais mordre un kiume, est-ce que tu trouverais dans son goût un bout de moi?" ça risquait de paraître zarbi sa question mais qui tente rien n'a rien.
Al 'Кα restait en retrait et observait calmement . Son attention viendra forcement s'attarder sur Ealden qu'il voyait enfin évoluer au milieu d'un camp Mamba . Une grimace lui échappera , frustration d'une perte de temps de ne pas l'avoir amené des la naissance ici . IL fixait ensuite chacun pour voir s'ils dévisageaient la nouvelle tête blonde ,entré dans le camp comme un Imani et prouvant par la qu'il n'était pas né Jang 'ka . Il viendra finalement se décaler vers Tanka , l'Imota du demi Nyeupe et s'accroupira dans leur dos " Ni hata katika medani ambayo kuthibitisha Pledge lazima kujua jinsi ya kupambana [ C'est même dans l'arène qu'il fera ses premières preuves , un Pledge doit savoir se battre a la lance ]
Isɧα'TeKöΛ se sent bien, zen, rassasiée par cette mini collation d'hémoglobine. Quelques gouttes et son addiction semble calmée. Enfin, la férale libère le mollet de Val pour se redresser.Tel un larl, elle s'étire et feule... Elle lâche un sourire ravi quand il s'inquiète de son goût et, quand il propose de lui offrir un futur goûter, elle jubile. "Yebo.. isha luma [mordre] " Par la suite, elle se contente de hocher la tête, confirmant qu'elle est tout à fait capable d'identifier les apparentés entre deux sangs. En pure férale, animale, elle s'éloigner pour s'isoler dans l'arbre... genre le clebs qui en a plus rien à battre.
Jang'ka's news [24]
[Semaine 24 - du 13 au 19 juin]
- Après une victoire contre Willy, un guerrier Casmu, Akhoris devient un officiel Imani du camp. Ses I'motas sont Achak et Kitemona.
- Elle a abandonné les reliques d'un passé trouble en offrande au feu, chassé et combattu à nos côtés. Morik'o devient Imani Jang'Ka, ses I'motas sont Kite et Sangoma Ash.
- Un ancien red savage nous rejoint: Amarok a su, au cours d'une guerre contre des Talunas, montrer sa valeur de guerrier. Il devient Imani du camp et ses I'motas sont Isha, pour le rendre sauvageon et Al'ka, pour lui apprendre a raler. [A lire]
- Visite de quelques mâles de Nyoka afin de relever le défi lancé par Sangoma. Devant les Jang'ka et quelques gens de leur cité, ils ont dansé la danse de la virilité. Après l'apprentissage des pas et des déhanchés satisfaisants, leur défi sera validé. Maintenant, c'est à Ash de relever le sien: mettre une robe. [A lire]
- L'Inyanga Valandyl prend son travail au sérieux, proférant différents soins aux Jang'ka: Douleurs dentaires, peau rougie par le soleil... rien ne sera mis de coté. D'un autre côté, le doc de la jungle ira réclamer l'aide de la M'wana pour une séance de coiffure.
- Noos croisera un des Inkosis, Al'ka, et profitera pour lui parler. Elle annonce qu'elle a retrouvé sa soeur Ash et qu'elle désire évoluer ici. Al'ka la chargera de faire découvrir la coutume du totem à au moins deux nouveaux venus... une première épreuve pour la jeune femme.
- En observant un Inahan Casmu, Ann le trouve étrangement ressemblant à Valandyl, Inyanga Jang'ka. L'hypothèse qu'il soit son fils est émise, d'autant que Valandyl fut un esclave reproduteur par le passé. Maintenant, il ne reste plus qu'à vérifier cette éventualité... mais comment comparer leur sang?
Profil Jang'ka - Amarok
Amarok (jaylhia)
1/ Qui es tu, présentes-toi.
N'aime pas trop parler, sa voix est rauque, dans un goréen haché, il finit posant sa main sur son torse par dire : " Moi Amarok, chasseur de la tribu des Fleer red savage, dans Barrens. Avoir vécu longtemps loin des bipèdes, seul. Venir dans schendi pour traquer ennemi, qui a détruit mon village et tué les miens. J'ai rencontré jang'ka sur territoire où kalbat m'a mené par mes songes, trouver ici, aide et peut être nouvelle famille."
2/ Quel rôle joues-tu ?
"Moi imani pour le moment, mais prouver avec épreuve futur hunter de cette nouvelle tribu"
3/ Cite-nous trois qualités et trois défauts.
Se gratte la tête: "loyal, honnête, calme pour qualités, silencieux, associal et toujours dire vérité, pas toujours bonne à dire pour défauts"
4/ Tout Sauvage a au moins une faiblesse, quelle est la tienne ?
Secoues la tête "moi pas faiblesse, red savage, futur mamba!" puis baissant un peu le regard "pas aimer hauteurs, vide"
1/ Qui es tu, présentes-toi.
N'aime pas trop parler, sa voix est rauque, dans un goréen haché, il finit posant sa main sur son torse par dire : " Moi Amarok, chasseur de la tribu des Fleer red savage, dans Barrens. Avoir vécu longtemps loin des bipèdes, seul. Venir dans schendi pour traquer ennemi, qui a détruit mon village et tué les miens. J'ai rencontré jang'ka sur territoire où kalbat m'a mené par mes songes, trouver ici, aide et peut être nouvelle famille."
2/ Quel rôle joues-tu ?
"Moi imani pour le moment, mais prouver avec épreuve futur hunter de cette nouvelle tribu"
3/ Cite-nous trois qualités et trois défauts.
Se gratte la tête: "loyal, honnête, calme pour qualités, silencieux, associal et toujours dire vérité, pas toujours bonne à dire pour défauts"
4/ Tout Sauvage a au moins une faiblesse, quelle est la tienne ?
Secoues la tête "moi pas faiblesse, red savage, futur mamba!" puis baissant un peu le regard "pas aimer hauteurs, vide"
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