samedi 28 février 2015

Les Chroniques d'Akili

 Le départ d'une Inahan

Le soleil était à peine levé et passait à travers la déchirure dans le mur de la ruine qui servait de case à Khol'tek, venant caresser doucement le visage d'Akili qui n'avait que très peu dormi. Elle s'extirpe doucement des furs sans réveiller le molosse d’ébène, elle s’était décidée dans la nuit il fallait qu'elle montrer de quoi elle était capable pour pouvoir devenir autre chose qu'une Inahan, et elle avait une idée.. La pluie tombait à grosse goutte encore depuis hier soir ou elle avait laisser Waki avec les deux petites nouvelles à la peau blanche, peut être qu'elle serait acceptée comme inahan ou peut être qu'elle finirait dans le ventre de l'Atika mais qu'importait, elle elle savait ce qu'elle voulait et elle était déterminée. Elle met bien en place  la sarbacane que lui avait laissé Poison, de façon à ce que Khol la retrouve, elle récupère son panier, la fur non tannée que lui avait donner Damu, met sur ses épaules la cape que Khol lui avait laissé et sort... Elle se faufile aussi discrète que possible à travers les ruines jusqu'à la rivière... La matinée était calme, peu de bruit sinon celui des oiseaux et de l'eau qui se frayait un chemin à travers la cime des arbres jusqu'au sol qui était devenu plus que boueux sous les pieds de la terrienne. Elle jette un dernier regard sur les remparts qui étaient devenus depuis quelques semaines son foyer.. pour s'enfoncer dans la jungle en remontant le courant.


Chapitre I : Le voyage

Voila déjà des heures que je m'enfonce dans la boue, si la pluie ne me parvient pas de façon torrentielle c'est uniquement parce que la canopée ralentit sa chute.. Je suis trempée jusqu'au os, et m'enfonce dans la boue presque jusqu'au mollets.. J'ai mal, j'ai froid, j'ai peur... Tout ce que j'ai emmené avec moi est mouillée et la lourde cape en peau de larl que Khol m'a donné est trop lourde et gène mes mouvements. La nuit ne va pas tarder à tomber et quelques part en moi raisonne la voix de Bear, trouver un abris pour la nuit, faire un feu, et se mettre hors de portée des prédateurs. Je m'approche de la rivière que je n'ai pas quitté de trop loin histoire de toujours retrouvé ma route, je ne sais pas jusqu’à ou je veux aller, mais je ne voulais pas rejoindre la mer. Ce que je veux, c'est survivre plusieurs dans la jungle pour leurs montrer à tous que je suis une survivante, et que je suis digne d'eux, digne de faire partit  de cette famille qui m'a accueillie depuis mon arrivée. Je regarde mon reflet dans l'eau un instant, je ne ressemble plus à celle que j’étais encore il y a quelques semaine, j'ai fondu, des muscles se dessine sur tout mon corps...Je donne un coup dans l'eau, je ne supporte plus de me voir, trop de choses ont changé il ne faut plus que je pense à avant Julie est morte il y a des semaines, il ne reste plus qu'Akili! Je tombe à genoux la boue maculant mon corps de plus belle, et récupère ma petite lame d'os à ma cuisse, j'attrape une mèche de mes cheveux  et fait passé le couteau affuté gardant ces belles boucles brune  à la main que je lâche dans la rivière... Un long instant je regarde ces cheveux dont j’étais si fière , ce qui faisait ma beauté dans cette autre vie, voguer vers d'autre cieux tel la team rocket, et je ris, je pousse un cri bestiale libérateur, et bientôt suit le reste de ma tignasse... Je me sens légère, mes cheveux chatouille mes épaules et mon cou, je me sens bien..  Je me relève et lève les yeux vers le ciel que je distingue à peine à travers l’épais feuillage, des gouttes d'eaux inondent mon visage, je suis libre. 

Je n'ai pas beaucoup de temps avant qu'il fasse complétement nuit, je trouve de quoi me faire un abris, et un arbre ou je peux grimper, le tronc de celui ci a une plate forme, qui me permet de me mettre, je me dépêche à construire un petit abris à l'aide de branchages et de longue feuille épaisse... Il me me reste plus qu'a faire le moto, le moyo de la tribu, le symbole de la survie. J'ai quelques écorces qui brulent bien même humides, et puis de l'huile que j'ai piqué à Khol, il m'en coutera sans doute ou pas à vrai dire je n'ai pas vraiment pensé aux conséquence, ce rite est aussi pour moi pour me prouver à moi que je ne suis pas encore en vie pour rien, que ce n'est pas que le hasard..Je suis une survivante! Finalement avec beaucoup de patience, je parvient a allumer le feu, qui brule me réchauffe jusqu’à la moelle, je m'enroule dans ma peau humide et me cale, il faut que je dorme, il me faut encore marcher longuement demain, jusqu’à trouver un endroit assez loin, ou je pourrais vivre seule, me construire, pour ensuite les retrouver. Ils sont tout ce que j'ai, et je dois l'avouer, Poison me manque, sa manière d’être cette force et cette menace qu'elle dégage, j'aurais aimé être plus comme elle, et c'est ce que je vais taché de devenir.. Khol aussi me manque, surtout ce soir, ne plus sentir son corps chaud contre le miens... Les larmes me montent aux yeux pour la première fois depuis de longue semaine je me laisse aller à pleurer de tout mon saoule, jusqu’à m'endormir d'épuisement.

C'est le matin, le feu est éteint mais il ne pleut plus, je me lève engourdie et m’étire... Je range la cape et la cale dans mon panier. J’écrase le peu de braise que j'arrose d'un peu d'eau pour ne pas risquer un feu, sans doute pas vraiment utile vu l'humidité ambiante, mais je n'en suis pas sure... La chaleur est déjà étouffante, mais il faut que je bouge.. Je l'ai sentis il sait que je sais qu'il est la... Je n'ai rien pour me protéger que le petit couteau d'os que j'ai récupéré de Khol depuis mes débuts... Mon panier me gène pour me mouvoir à l'aide d'une grosse liane je me fais une bandoulière que je fixe à l’anse de chaque cotés. Il faut que je cours, j'en ai besoin! Je saute, sur le sol, et commence à m'enfoncer toujours en suivant la rivière encore plus loin à travers la jungle.. J'entends dans mon dos les feuillages s’agiter de plus belle, je ris et je sens en moi monté l'adrénaline comme le soir avec Khol... Je bifurque, je sais qu'il court plus vite que moi et qu'il est plus agile, mais bientôt me voila à niveau de l'eau, mais qu'elle n'est pas ma surprise  je suis face à un gouffre d'une cascade, derrière moi ce bruit de pattes qui atterrit, lentement je me tourne pour faire ça à l'animal qui ne semble pas vouloir attaque de suite, il joue au chat et à la souris me toise, on dirait presque qu'il me sourit... Je feule, comme j'ai vu si souvent les Férals faire, et m’accroupis à la manière d'Isha. C'est vrai que j'ai un comportement imitatif de mes semblable, mais ce qui marche pour eux doit marcher pour moi?! L'animal tourne en rond en me lâchant pas d'un regard il me croit coincé.. Je sors ma lame, mais une lame face à ces crocs, ces pattes ces griffes c'est clairement du suicide " Akili Kula Moyo " dis je. Oui, j'ai manger le cœur d'une de tes semblables, et je mangerais le tiens, et cette fois en entier.. Mais il n'est pas temps, je ne suis pas en position de force, je fais la seule chose qui me peut me sauver la vie, je me tourne et je plonge!

Chapitre II :  L'attente.

Voila plusieurs jours que je suis partie, j'ai enfin trouver l'endroit, une grotte en amont de la rivière, j'y ai fait mon trou.. Je maintiens mon moto en vie, et j'ai poser des pièges à collet comme Khol me l'a apprit.. je n'ai rien ramassé pour le moment, j'ai faim... Et je sais qu'il reviendra , j'ai réussi à le semer pendant ces derniers jours car après avoir immergé dans la rivière nous séparaient, apparemment il n'a pas encore trouver comment traverser... Je me prépare à son arrivée... J'ai tailler plusieurs bâton en pointe, et autour de ma grotte à distance j'ai creuser plusieurs trou, ou j'y est planté les épieux... Je suis si fatiguée, je ne me nourrie que de baies, et d'eau... Je vais aller retirer mes pièges, pour une fois 'j’ai pris une bestiole, un genre de petit singe, je ne suis pas regardante.. J'ai trop faim pour l'être, j'attrape une grosse pierre, et je viens fracasser sa tête avec le sang gicle la cervelle avec. Je ne suis même pas écœurée par le spectacle comme quoi on s'adapte à tout surtout quand on à faim.Je récupère le petit animal et enlève le collet de son cou, puis replace le piège. Je rentre à la grotte le jour décline déjà, je suis plutôt fière de moi.. Une fois arrivée à al grotte je m'occupe de l'animal et comme Tanka me l'a montrer je le dépèce, je gratte la peau mais j'ai trop bousillée la cervelle pour m'en servir pour la tannée du coup je m'en servirais sans doute pas vraiment, elle sera trop fragile.. Je la laisse de coté, je le vide me débarrasse des entrailles que je ne mange pas moi, je souris mes doigts souillé d’hémoglobine, en pensant à Waki, lui il les auraient mangé, sans doute Good aussi.. Je me surprend à penser à eux tous, eux avec qui j'ai appris à vire, certain dont je connais les petites habitudes.. Je me demande comment vont Shi, Isha et Ewa que je connais moins, les trois femme enceintes... Peut être qu'un jour moi aussi j'aurais des enfants, elles pouvaient que c’était possible même au fin fond de nul part, et même pour une terrienne comme elle. Je plante la bestiole sur un pique et la met à rôtir sur le feu... La nuit dehors est tombée, je sais qu'il ne lâchera pas, je sais qu'il reviendra pour moi et il faudrait que je sois prête... Je prend le long jonc  que j'ai trouvé à la rivière, il séchait depuis que je suis arrivée, et je commence doucement à bien le creusé à l'aide de mon couteau.. J'en ferais une sarbacane, qui servirait à me défendre et à défendre la tribu dés que je les auraient retrouvés, quand je me serais montrée digne d'eux.

Le jonc était creusé et sec, il me restait à le lissé pour ne pas que les projectiles se coincent en son sein, cela me prend un peu de temps, je m'habitue à la solitude, à la vie seule finalement ce n'est pas si mal, je me débrouille pour manger, j'ai eue un serpent ce matin, je suis tellement ignorante dans ce monde, je ne connais pour ainsi dire quasiment rien de son fonctionnement. J'ai approché les cités avec Poison ils parlent une autre langue, cela m'intrigue, mais Shi à dit qu'ils étaient pires.. En quoi? Ce sont souvent des questions qui me trottent dans la tête comment c'est ailleurs? me serait il aussi facile de me faire une place? La sarbacane est presque prête, lisse longue, il ne me reste plus qu'a la gravée ce que je fais, j'y inscris dans mon écriture, (je n'en connais pas d'autre, d'ailleurs est ce qu'ils savent ecrire? ) -Akili- Je ne sais pas trop si cela s'écrit comme cela, mais je l’écris comme je le prononce.. Je suis plutôt fière de moi, elle ressemble presque à celle que poison m'avait donné, bon bien moins stylé je l'accorde.. Je prend de la liane, et je renforce la sarbacane en enroulant plusieurs fois autour de celle ci.. Ça donne un petit Style, j'aime bien.. J'ai mis de coté les os du petit singe, je me sers des plus gros pour tailler des pointes de flèches, avec moi j'avais emporter mon petit bric à brac dont de jolie plumes d'oiseaux que Khol avait ramener, elle me serviront pour faire le bout des flèches. La j'improvise, je sais qu'il faudrait que ce soit égale pour que mes flèches soit le plus précisent possible, mais avec mon petit couteau c'est un peu compliqué, d'ailleurs j'abandonne bien vite l'idée de tailler les petits os du singe, je m'en servirais autrement.. Je vais me contenter de tailler mes bout de bois en pointe, peut être les enduire de poison?! Le tout était de trouver du poison.. Je demanderais à Azul en rentrant ou Ash, je suis sure qu'ils pourront me renseigner. Penser à eux m'aide, ca me renforce. Ils me manquent.


J'avais de quoi me défendre maintenant, quelques flèches et ma sarbacane, je me suis aussi confectionné de qui la maintenir à la cuisse pour avoir plus de facilité dans mes mouvements. La nuit était tombée, et les les trois lunes de ce monde éclairait la petite clairière ou était ma grotte, cachée par le lierre qui masquait l'entrée, je regardais au dehors... L’éclat lunaire sur la cascade qui juxtaposait mon campement donnait un coté surréaliste à l'endroit.. Je me serais presque crue dans Avatar, à cause de quelques plantes phosphorescentes et des petites lucioles qui voletaient au dessus de l'eau...  Soudain, un bruit dans les feuillage, un râle, je porte ma main à ma sarbacane....

Chapitre III : La bête

 Voila plusieurs jour que je pistais la bipède, elle avait réussit à m’échapper en sautant de la falaise droit dans l'eau trempant mes sens, mais je connaissais un endroit ou traverser, un endroit ou je pourrais enfin retrouver sa piste, elle aussi avait du avancer de son coté je la retrouverais....
La nuit était tombée depuis quelques heures déjà, la faim tenaillait mes entrailles mais je l'ai sentie je l'ai retrouvée, tous ces jours de recherche n'auront pas été vain ce soir je l'aurais et je me délecterais de sa chaire! Sans pouvoir me contrôler je ris, quelques choses qui pour les bipèdes doit ressemble à un râle terrifiant, elle a bougée, elle m'a repérée.. Plus la peine de me cachée je sors du feuillage et lui fait face... Elle à l'air enragée elle porte une main à sa cuisse.... Ce soir ce serait elle ou moi!

Chapitre IV : Le combat.

Tout semblait silencieux, même le bruit de la cascade semblait s'être éteint alors que les deux êtres se faisaient face. Akili avait porter sa première fléchette dans la sarbacane et soufflait la fléchette frole la bête de prêt mais celle ci est rapide et fait un bond sur le côté. Akili se remet en position défensive et se réarme, mais la bête semble avoir comprit son jeu, elle ne lui laisse pas le temps et se jette sur elle tous crocs dehors et mord avec violence son bras.. La jeune femme tombe à la renverse et roule sur le dos en hurlant, son avant bras est en sang, et elle a perdu sa sarbacane, son cœur bat à tout rompre dans sa poitrine, elle allait mourir? Mais Akili n'était pas arrivée jusqu'ici, n’avait pas survit pour se rendre sans combattre, elle prend son couteau à sa cuisse et se redresse accroupie position féline, elle feule, et montre des dents qui ne sont pas pourtant impressionnantes comparées à celle des Mambas, mais elle adopte leurs attitude leurs agressivité face à l’ennemie leurs sauvageries qui font d'eux des guerriers redoutables. La bête elle avait reculer, et sa grosse langue se le pourléchait les babines, son regard était jaunâtre et injecté de d’hémoglobine, il semblait enragé. Il s’élance, courant rapidement , sautillant aléatoirement sur le coté pour donner de la surprise à son attaque, il se jette sur elle, mais l’éclat de la lune se reflète sur quelques chose de blanc qu'elle vient de sortir, il a juste le temps de bifurquer mais elle l’atteint. La bête roule sur le coté, touchée au flanc dans un gémissement plaintif.. Mais très vite il se redresse elle avait l'air surprise d'avoir toucher sa cible, mais déjà elle s’élançait sur lui c’était son tour d'attaquer et elle ne lui avait laisser que peu de temps pour se remettre. Akili bondit et se jette sur la bête qui fait la moitié d'elle et elle plante son couteau dans sa gorges avec toute la force dont elle peut faire preuve poussant un hurlement bestiale et libérateur qui se mêle aux cris de la bête agonisante. Akili avait réussit, son cœur battait jusque dans ses tempes et la rendait sourde, elle restait allongée la, sur le corps de la bête, le sans dégoulinant de la blessure et maculant son corps. Le combat avait été rude, et la bête etait monstrueuse, un énorme Ragodin sanguinaire, au poil ras et brun, au dent monstrueuse comme ces tigres préhistorique et qui faisait la taille d'un gros chien, en gros pour les Goréen il s’agissait que d'un Urt géant carnivore, pour Akili c’était le combat de sa vie contre une créature énorme venue d'un autre monde. Elle reprend doucement son souffle et ses esprit, la lutte pour la survie avait été rude. Akili s'agenouille devant le corps de sa victime et caresse doucement son pelage " Assante" dit elle alors qu'elle l'ouvre de tout son long par le ventre et fouille maintenant dans ses entrailles à pleine main pour en sortir le cœur, cette fois Akili si elle éprouve du dégout elle n'en montre aucun signe et porte le cœur à ses lèvres et croque à pleine dent. Elle dévorera le moyo jusqu’à la dernière bouchée. Le reste des entrailles, elle les enfouira dans la terre faisant une petite prière, elle qui n'avait jamais été croyante sur terre se met à prier des esprits.... L'aube se levait, couvrait la vallée d'une lueur pourpre, pourpre comme le sang qui couvrait les mains d'Akili..

Chapitre V : Time to come Back

Akili avait dépecé la bête et mit sa peau à sécher après l'avoir au préalable enlever les gros bout de chaire encore collé à elle.. Elle avait ensuite continuer a gratter la peau une fois celle ci sèche pour enlever la membrane qui la recouvrait, elle ne travail qu'un coter pour garder la fourrure. Akili avait préparé avec la cervelle de l'animal de quoi graisser le cuir, et après l'avoir lavée à l'eau froide, elle passe sur le cuir la mixture qu'elle avait fabriquée, bon elle n’était pas sure de ce qu'elle faisait elle avait vu un reportage une fois, mais du coup elle n'avait sans doute pas retenu tout les étapes, en plus elle avait fait quelques trous en grattant la peau. Elle laisse à nouveau la peau séchée pendant 3 jours complets. Pendant ses trois jours la vie se passe plutôt bien dans son petit campement de fortune, bon elle n'a pas beaucoup de visite c'est sur, mais elle s'en sort entre la pêche et ses pièges, elle ne mange pratiquement que de la viande, quelques fois des fruits qu'elle trouve, mais ceux qu'elle ne connait pas elle les laisse de coter, de peur de s'empoisonner, elle en savait encore si peu sur la jungle, les Janka's était sa survie, et elle le savait. Elle s’était prouvée qu'elle pouvait s'en sortir seule.

Le matin se levait semblable à l'autre qui l'avait vu partir ne fine pluie tombaient et le bruit des gouttes tombant sur les feuilles sonnaient doux à ses oreilles. Akili ramassait ses affaires et jetait un dernier coup d’œil à la grotte ou elle avait passé quelques jours.. Elle passe sur son dos sa toute nouvelle fourrure, celle de la bête! Elle était lavée et prête, bon évidement comparée aux fourrures de POison , elle avait pas fière allure mais c’était la sienne et c’était le fruit de son combat! Akili se redresse fièrement et reprend le chemin de la rivière la descendant cette fois ci, d'ici quelques jours elle retomberait sur les ruines de Fallen Creek...

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