mardi 8 juillet 2014

Recrutement sauvage

Visite au peuple Mamba pour une guerre d'un autre monde
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Poison remet son arc en place, dépose les armes aux pieds de l'Akicita puis se retourne saluant S'Wari au passage par un clin d’œil. Elle redevient silencieuse, en mode observatrice laissant Hak'an parlementer avec Shango.


DaheneLys passe sous la cascade, s'ébrouant pour chasser l'eau sur le chemin, elle viendra passer la main dans ses cheveux pour les essorer avant de les laisser retomber, humides, sur ses épaules. Pas bien au fait des coutumes du coin, elle se contente de glisser à genoux aux pieds de son propriétaire, lancant un « Sawubona » disctinct et calme, évitant cependant le Ufundi parce qu'elle sait tout simplement pas comment appeler une femme en Schendien, donc ça fera l'affaire


Shango se retrouve dans un nouvel endroit regardant les lieux pas forcement inquiet ce qui pourrait paraitre étrange vu qu'il est seul avec une kajira blonde « Kunjani ? » leur demandant simplement à tous si ils vont bien.

S'Wari observe en détail les deux nouveaux arrivants, ses prunelles s'unissant à sa culture pour déterminer plus finement d'où ils viennent à leur façon de se tenir, aux étoffes qu'ils portent. Prudente, la petite blonde vient se ranger un peu derrière Poison pour pouvoir les scruter en paix. Pour le moment, elle reste totalement muette, fixant désormais l'homme noir de ses yeux argentés.

Ha'Ka'n tenait toujours l'arc en main, crispant légèrement les doigts sur l'arme qui ne le quittait jamais, tout juste s'il dormait pas avec... L'arrivée de Poison avec les "invités" le fit se tourner, les détailler en silence de ses yeux ambre, s’attardant sur les formes appétissantes de la femelle avant de revenir vers le mâle dont la peau est encore plus noire que la sienne .... Il était curieux, voulait savoir ce qui amenait un homme qui apparemment connaissait le langage de Schendi à les approcher... Une quête, avait-il dit, « Yebo... Vizuri... Kisha sisi kueleza sisi madhumuni ya ziara yako » (Nous allons bien....alors explique-nous le but de ta visite) ses yeux se plissent à demi attendant une réponse a ses questions restées en suspens.

DaheneLys se redresse souplement après avoir salué, chassant l'herbe sur son corps encore humide des passages sous les cascades. Elle posera ensuite son regard sur la blonde aux petits pois rouges, avant de détailler l'homme sur le coté, et de revenir à celle qui leur a ouvert. Humectant ses lèvres tout en restant silencieuse, essayant de reconnaître certains mots appris bien que sa connaissance ne soit pas suffisante pour saisir le sens même de la discussion.


Shango : « Ngisaphila ngiyabonga » répondant qu'ils vont bien même si on ne lui pose pas la question, il parlera ensuite dans la langue commune pour que Dahé puisse comprendre : « Je suis Shango fils de Ogum le forgeron né sur les rives du lac Ngao et voici ma kajira Dahéné je viens ici en paix car comme je le disais je suis à la recherche des meilleurs guerriers pouvons nous discuter en paix ou bien vous aller braquer vos armes sur nous longuement ? »

Poison adopte une attitude plus décontractée, à l'instar de Hak'an toujours sur l'oeil qui vive. Les armes du mâle sont au sol, elle peut très bien se jeter sur lui et lui ouvrir la gorge d'un coup de dents, mais l'Akicita souhaite en savoir plus, quels curieux ces mâles. Dans la tête de Poison, c'est de la barbak et que de la barbak, elle les imagine deja dépecés, les gros boobs de la femelle serviront de dessert à l'Inkosi. Une forte envie de goûter leur sang qu'elle réprime la prend soudain. Sa fièvre de l'hémoglobine de male étant de plus en plus forte au fur et à mesure qu'elle se sèvre. Poison poussera un feulement rauque, son regard ne quittant pas la carotide de Shango.

DaheneLys ourle ses lèvres d'un sourire reconnaissant quand son propriétaire parle la langue commune, elle fera un petit geste de la main qui ressemble à un coucou, quand il la présente. Nettement plus détendue maintenant qu'ils sont sortis de l'eau. Elle reste donc joviale et sensuelle comme toujours, bien que parfaitement silencieuse. En logique, s'ils voulaient les bouffer, ils seraient déjà saucissonnés et peut être même assaisonnés au dessus d'une grosse marmite, voir même empalés sur un gros pic effet tarsk à la broche. Son regard glisse toujours sur chaque personne présente, avisant la nouvelle venue qu'elle détaille un instant, avant de tourner systématiquement ses yeux vers ceux qui prendront la parole.

Ha'Ka'n étire un sourire cruel, l'homme ne sait que trop bien pourtant où il est tombé, il connait le langage, les manières des Mambas qui parmi les peuples sont certainement les plus rusés, amenant ses proies jusque dans leur antre. Mais ce jour là le mamba était curieux, la démarche de l'homme l'intriguait, il était le second dans la hiérarchie de la meute, un des Alphas gardien du clan, désignant la feu de camp d'un large mouvement de la main il invitait le noir qui puait son guerrier à cent passangs a aller s'asseoir « Itabidi kueleza kwangu kisha... kuweka wewe kwa urahisi na kaaa...jiiraa yako » (Tu vas m'expliquer ça alors... Mets-toi a l'aise avec ta kajira)

Shango les suit donc intimant à son esclave de suivre sur le camp près du feu lui montrant qu'elle doit se placer à genoux devant lui, il prendra la parole une fois tous installés.

DaheneLys lâchera un « Qu'est-ce qu'il dit, mon Ufundi ? » tout bas, mais elle risque de le demander souvent en fait, même si ça fait très petite vielle sourde en haut de son balcon. Suivant en obéissant docilement.

S'Wari vient poser une main douce et apaisante sur le bras de Poison, qu'elle caresse du bout des doigts. Elle sent bien que celle-ci est terriblement impatiente. Avide. Elle n'a aucune envie de voir un bain de sang. Finalement l'Inahan s'écarte d'elle pour aller allumer le feu du camp auprès duquel l'Akicita a invité son hôte à s'installer. Elle s'empresse de nettoyer les cendres, d'alimenter le foyer en bois et en brindilles sèches et d'allumer un feu qui se met très vite à crépiter généreusement.

Shango sait se faire court quand il le faut ainsi qu'attiser les feux de la curiosité tout comme le feu des esclaves « Bien. Que penses-tu des Kurii ? » parlant à ce qui lui semble être le chef de meute.


Tarik rejoignait l'attroupement, trifouillant le lance pierre presque fini. C'était trop calme la en haut donc elle venait voir qui étaient les deux étrangers. Elle arborait un air dédaigneux.... les femmes a genoux c'était plus un truc qu'elle pouvait supporter.. pas ici, plus ici, pas avec ce que l'Inkosi avait réussit a faire sortir d'elle... Cependant elle restait silencieuse pour écouter, pour une fois qu'elle râlait pas d'ailleurs....En même temps, elle a emmerdé Ha'Ka'n juste avant avec les cahuettes... puis elle avait un truc en tête bien précis par rapport a son fils qu'elle allait peut-être retrouver... Ça la calmait faut croire.

DaheneLys se laisse glisser à genoux suavement près de la jambe de son Maître, ses cuisses s'écartant pour s'exposer aux regards tout naturellement. Elle remue pour venir se poser contre la jambe gauche, déposant sa tête contre la cuisse musclé de Shango. Renonçant à poser des questions, il lui expliquera sans doute plus tard, ou pas. Son regard se porte toujours alternativement sur celle qui feulait plus tôt et qui semble assez flippante et pas toute seule dans sa tête, et sur celui qui semble détenir le pouvoir. Elle reste particulièrement calme et douce, agréable au regard.

Ha'Ka'n prenait place en face de l’étranger... Son regard ne le quittait pas, il avait noté que l'Inahan avait rallumé le feu, grogna un bref instant, faudrait qu'il lui explique par la suite qu'un foyer ne se rallume que quand l’hôte a toute la confiance de la meute, c'est un signe de bienvenue ainsi qu'un rituel de reconnaissance... Mais passons, il avait mieux a faire pour le moment, il se leva juste, donnant un grand coup de talon a coté du foyer, envoyant assez de terre pour en étouffer les flammes naissantes, et d'un signe du menton faisait signe a la blondinette de retourner près de Poison ....il avait entendu la question de l'homme noir....pris le temps de réfléchir... Les kurii... Une grimace de dégoût naquit sur ses lèvres « Wao ni adui, tuna kitu cha kufanya na wao » (Ce sont des ennemis, nous n'avons rien a voir avec eux). Pourquoi cet homme venait-il ici leur parler de ces bêtes ?

Shango caresse la croupe de son esclave se faisant doux dans ces gestes pas forcement pour elle mais juste pour montrer qu'il est là en paix comme il les sent légèrement sur les dents attendant les réponses du chef non sans regarder les femmes autour surtout celle à la peau très blanche, trouvant les mambas d'ici assez peu colorés comparés à lui, notant le geste pour le feu qu'il interprétera comme de la confiance puis comme un signe de vexation au geste de Hakan « Bien, homme, je suis aussi le fils d'une femme Mamba et à ce titre je viens comme un cousin chez vous, mon frere d'armes Oko a été tué par un Kur ; un haut Kur bien sur pas les faibles, depuis je monte une compagnie pour mener à bien cette quête j'ai besoin de 6 guerriers ou guerrières les plus puissants de Gor et je n'ai pas encore trouver un archer ou une archère suffisamment puissant pour m'accompagner, je me suis dit alors quoi de mieux que de venir voir des cousins mamba ? »

Poison reste perchée comme d'habitude sur un rocher au cas ou il faudrait sauter sur l'un ou l'autre des "invités". Les Kurii... Le mâle vient pour ces bêtes immenses dont les anciens ont narré les histoires dans son enfance, meme son père avait peur de ces grandes choses et de leurs armes étranges. Elle ne sera pas plus calmée de son envie de sang, ce que venait proposer l'homme à Hakan était une chasse au kurii..une folie et les jang'ka n'avaient vraiment pas besoin de ca..Elle espère seulement que Hakan, le fier chasseur ne sera pas emoustillé par la perspective de traquer une de ces bêtes. Elle fera un signe à S'Wari, et sentira la présence de Tarik dans son dos.Toujours silencieuse et observatrice.

S'Wari est clairement choquée par le geste de l'Akicita, ne comprenant absolument pas pourquoi il éteint son feu, la renvoyant sans la moindre considération. Elle qui s'efforce de faire de son mieux depuis sa discussion avec Poison... Elle recule donc, tête baissée et gorge serrée.



DaheneLys se cambre délicieusement sous la main apaisante sur sa croupe laiteuse qui marque à chaque fois la nuance de couleur. Elle ne comprend rien quant à ce qu'ils font avec le feu, y connaissant plus dans la langue schendienne que dans les coutumes des mambas, et c'est pas peu dire. Restant contre la jambe de son propriétaire alors qu'elle relève sa tête, la surprise plus que visible sur les traits de son regard alors qu'il parle de sa mère. Le dévisageant un bref instant, décontenancée, bien qu'elle garde à l'oeil les gens tout autour également, mais plus par curiositée à présent que crainte.

Tarik lançait en grognant légèrement « kurii... un seul peut exterminer toute une cité, guerriers, hommes, femmes et enfants... c'est du suicide...»

Ha'Ka'n dodelinait de la tête, les kurii étaient réputés pour être les plus puissants de Gor, des bêtes intelligentes qui étaient de grands et puissants guerriers, les Mambas en avait entendu parler même dans leur contrée reculée... Il prit le temps de la réflexion, il devrait rendre compte de tout ça a l'Inkosi. Aucune décision, de toute façon, ne serait prise sans lui....« Nini na sisi kupata katika vita hii ambayo si yetu ? » (Qu'avons nous à gagner dans ce combat qui n'est pas le notre ?)

Shango répondra à la femme qui parle dans leur dos « ça serait du suicide si je ne recrutais pas les six plus puissants guerriers de Gor pour mener à bien tous les sept cette mission qui me tient à cœur » regardant ensuite ce qui lui semblait toujours être le chef de la meute « Tu n'as rien à gagner hormis la postérité pour les tiens et que ton nom ou celui du guerrier puissant qui se joindra à nous sera chanté et conté par tous les artistes. »

Ha'Ka'n essayait de capter chaque mot que l'homme venait de lâcher dans le langage des blancs lui amenant une légère grimace sur les lèvres... Que venait-il de dire ? postérité ? artistes ? Il ne pigeait rien... L'homme lui demandait d'aller affronter des kurii pour... pour... rien ?! Son regard interrogatif se tournait vers la blondinette de service voir si elle savait lui traduire ce que l'homme venait de lui sortir en réponse a sa question, « Sikuweza kuelewa kitu chochote, mtu yeyote kujua nini maana ya?...posste..ritéé? » (Je n'ai rien compris, quelqu'un sait ce qu'il veut dire ? )


S'Wari  n'accorde guère d'attention aux élucubrations de l'invité qui semble vouloir monter une sorte de compagnie pour affronter des Kurii, créatures qu'il convient plutôt de fuir comme le Dar Kosis. Elle fixe le sol d'un air boudeur. Elle fusille un coup Ha'Ka'n du regard. Tiens, il a besoin d'elle maintenant. Sa fierté la pousse à l'envoyer magistralement balader mais elle se retient : « Alisema kuwa celebrity ni sababu ya kutosha kukabiliana na kur » (Il dit que la célébrité est une raison suffisante pour affronter un kur), explique-t-elle d'un ton agacé.

Poison avait très bien compris pour sa part ce que le mâle disait... oui ! Il proposait de prendre le risque d'amputer le camp d'un des meilleurs arc, d'un des meilleurs chasseurs, pour une histoire de gloire somme toute inutile pour un peuple aussi tribal que les Mambas. La survie dans la jungle réclamait des bras, du sang et des tripes... et c'est pas la postérité qui allait les faire bouffer... Elle fera un signe à S'Wari pour qu'elle explique à Ha'kan ce qu'il en est mais elle la devancera... un peu agacée certes, mais elle le fait quand même. Elle lui expliquera calmement plus tard le geste du feu qui n'a rien à voir avec elle, mais bref. Poison se tourne vers l'homme, grognant « Hatuna huduma ya mbegu zako, kutupa nyama, silaha, damu .. kitu yanayoonekana, kama huwezi kuondoka ! » (on s'en moque de ta postérité, donnes nous de la viande, des armes, du sang... quelque chose de tangible, sinon tu peux repartir ! ) terminant sa phrase de façon très cassante.


Shango voit que la blanche parle les deux langues et comprendra qu'elle pourrait être utile à la fois pour Dahé et pour lui même, puis entendra Poison, se demandant pourquoi elle parle alors que lui pense parler à ce qui lui semble être le chef attendant la réaction de Hakan à tout ça car c'est de lui qu'il cherche ses réponses.

Ha'Ka'n désapprouve de la tête en accentuant une grimace à la limite du comique, reniflant un grand coup il fixe l'homme en face de lui d'un regard jaune dans lequel on peut lire un début d'agacement... Fallait pas rêver, aller affronter des monstres pour rien d'autre que la "célébrité" fallait être fou ou un envoyé des esprits ...il tiquera a l'intervention de Poison l’arrêtant d'un « Alikamatwa ! » elle n'avait pas a parler pour lui ! il se tournait de nouveau vers l'homme qui rêvait assis, faisant l'effort de parler dans sa langue « Les... mambas... pas besoin célébrité ! Propose autre chose ! »

Poison gronde quand Hakan lui dit de se la fermer, mais respecte, il est l'Akicita, il domine les échanges... Mais il faudra s'accrocher pour museler Poison... Elle ne manque pas de franc parler, et déteste ces mâles qui débarquent se croyant tout permis sous prétexte qu'ils ont du sang ou sont un cousin éloigné des mambas. De plus vivre loin de la jungle et des camps pour elle quand on a le sang de son peuple est à la limite de l'irrespect, il étale ses origines quand il le faut mais refuse d’être au milieu des lianes et préfère le confort et les esclaves des cités. Poison se mettra à gronder et lâcher un juron en schendien pour l'homme... Il n'est rien pour elle, encore moins que de la nyama. Elle descendra de son rocher, et se désintéressera de la discussion .

Shango masse doucement les cuisses de Dahé tout en regardant l'homme qui lui faisait face assis dans une position typique qu'il connaissait bien « je n'ai rien d'autres à te proposer que du sang et des larmes mon cousin » il parle dans la langue des jungles là tout ça tout ça « mais cette quête sera menée avec la meilleure hache des terres du nord, la meilleure lance du schendi, le meilleure marteau de l'ouest ainsi que le meilleur glaive du delta, refuser c'est rester ici et tu n'es pas sans savoir que la gloire amène la richesse. A toi de voir, homme, mais mais je ne te mentirai pas » puis se tourne en entendant l'insulte de Poison « dis à cette femme aussi de tenir sa langue mon séjour ici pourrait s’écourter »

Ha'Ka'n gronde soudain, même si Poison a une grande langue elle n'en est pas moins une des femelles de la meute, une des protégées du clan parce que potentiellement pouvant donner la vie et perpétuer la race ...le ton agressif de l'homme commence a le chauffer, qu'a-t-il lui à faire de la célébrité ou de la gloire ? Il a mieux a faire a rester dans sa jungle que d'aller affronter des bêtes sanguinaires a l'autre bout de Gor pour la gloire, les mambas ont déjà la réputation d'être les plus grand prédateurs après les Kurii, les meilleurs guerriers, les meilleurs archers... Il se lève soudain et se rapproche de l'homme de sa démarche de fauve « Mamba pas besoin de richesse... Si tu as viande ou kanda ou nourriture... alors peut-être... Nous pourrons faire affaire... Mais... Je ne décide pas seul... l'Inkosi donnera son avis....peut-être sera t-il d'accord...» C’était clair, les Mambas refusaient l'offre, enfin pour sa part c'était niet.


DaheneLys redresse un peu sa tête lorsque le mamba se rapproche rapidement, se détachant ainsi de la jambe de son Maître au cas où. Elle reste cependant à genoux, observant un instant les peintures rouges sur le corps de l'homme, qui ne sont pas sans rappeler, celles, blanches, de son Ufundi. Restant toujours parfaitement silencieuse, même si là elle a compris la réponse, mais pas du tout la question, bref elle a que des bribes de la discution qui semble tout le temps sur le fil.

Shango entend les mots. Il se lève en regardant l'homme faire de même faisant signe à Dahé qu'elle peut se lever « bien je vais donc rester dans la jungle quelques temps quand pourrais je voir votre Inkosi ? » laissant la question en l'air et se demandant même si ils accorderaient une certaine forme d'hospitalité vu que lui même était à demi mamba par sa mère bien qu'ayant reçu une éducation de non sauvage.

Ha'Ka'n étire un sourire à la limite de la cruauté, oscillant vers la ruse la plus bestiale... L'avoir pas loin pourrait être profitable après tout... Il se fit tout sucre et miel venant presque rassurant jusqu'à lui tout en acquiesçant « Yebo....tu peux rester...la grotte après le camp est un campement où tu seras bien... L'Inkosi sera prévenu...», Inkosi qui serait, il en était sûr, du même avis que lui, Al'Ka n’était pas fou et verrait l’intérêt de la meute « Pense à autre chose, nyama... Quelque chose qui intéressera Al'ka...»

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